Le désir.

Publié le par Anthony Tolmann

Après ce long moment d’absence sur mon blog (dû a une grosse charge de travail malgré les vacances) je reviens avec un article sur le désir… je désirais le faire !

Le désir est un besoin inconscient qu’on exprime et tente de faire aboutir consciemment.

Il peut être primaire, comme manger, se reproduire… Ou acquis pendant l’enfance: choisir son/sa partenaire, choisir sa nourriture.

Le désir fait aussi le moral: les dépressifs perdent souvent toute envie, tout désir, n’y croient plus… les optimistes sont toujours pleins de projets ( à court ou long terme) mais à force d’être déçu, on peut finir par avoir un « passage à vide ».

Les désirs à courts termes représentent l’hyperactif et les désirs à long termes représentent l’ambitieux (sous une forme supérieure à la normal pour ces 2 cas).

Certes, mon article est court, mais (je crois) assez explicite sur ma vision du « désir » mais je suis sûr que vous saurez parfaitement compléter mon article avec vos commentaires !

Publié dans Texte

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P
enfin de retour antho vive le roi antho toujour aussi bien ton blog et toujour aussi fort anthony en philosophie continu
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A
<br /> C'est gentil, je compte bien continuer, oui !<br /> A très vite l'ami.<br /> <br /> <br />
G
le mot désire peut signifier desire less aussi parce que là c'est un voyage voyage dans ton esprit.
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A
<br /> Tu as dû faire quelques fautes de frappes, mais je comprend ce que tu veux dire en gros. Je suis donc d'accord avec toi (si j'ai bien compris).<br /> <br /> <br />
G
manger n'est pas un désir mais un besoin
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A
<br /> C'est vrai, et c'est là que je me rend compte que dans mon article, je me suis un peu éloigné du titre.<br /> Mais le mot désire peut signifier "petit caprice" comme "désire vital". Manger est un désir très important (appelé besoin, donc désire inconscient profond) mais le choix de ce qu'on va manger est<br /> beaucoup moins important mais aussi inconscient, en l'occurence celui qui se fait dans le ventre de la mère et pendant l'enfance. Il y a aussi la considération génétique à  prendre en<br /> compte.<br /> Finalement, mon article correspond au titre ! lol<br /> <br /> <br />
A
HS : Puis-je avoir ton avis sur ma phrase : "La conscience est plus dangereuse que son contraire"Essai de trouver le sens de ma phrase, le pourquoi etc.=)
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A
<br /> <br /> Déjà, j'aime bien ton pseudo "anonyme homonyme" ça me fait penser à un autre article que j'ai fais: http://anthony-tolmann.over-blog.com/article-21226352.html<br /> <br /> Pour ta phrase, quand tu dis "contraire" cela voudrait dire que le contraire de la conscience est l'inconscience et que l'inconscience est donc moins dangereuse que la conscience. Ensuite,<br /> une fois qu'on a compris cela (si j'ai compris lol) il faut se demander "dangereux pour qui, pour quoi ?" Moi je crois que la conscience est plus dangereuse pour nous, puisque nous sommes<br /> conscients, et comme on fait toujours des erreurs, comme il y a toujours des situations qui nous mettent mal à l'aise, être conscient de cela est un danger ou du moins désagréable. Toutefois,<br /> dans l'absolu, moi je dirai plutôt que c'est l'inconscient qui est plus dangereux, s'il n'est pas modéré par le conscient. Car notre inconscient peut pousser à faire des choses terribles.<br /> <br /> Le pourquoi de ta phrase... tu as sans doute voulu faire une phrase compliquée et assez abstraite par un besoin inconscient d'avoir l'air supérieur et afin que les autres se sentent mal à l'aise<br /> de ne pas comprendre (c'est toujours rassurant quand on met les autres en infériorité).<br /> <br /> Toute cette analyse est peut-être un peu vaseuse et subjective, mais j'attend avec impatience ta réponse.<br /> <br /> A bientôt Anonyme homonyme... tiens, nous avons peut-être la même façon de penser sans être les mêmes... nous sommes des homonymes humains on dirait !<br /> <br /> <br /> <br />